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dimanche 29 avril 2012

Karine après la vie - Didier van Cauwelaert

Un beau petit livre, signé D. van Cauwelaert. Recommandé par ma prof de danse.
Relate les transmissions de l'au delà d'une jeune femme Karine. Tout ce qui est transmis m'a semblé conforme avec ce qu'on sait par ailleurs...
Quelques extraits alors:
"Les êtres découvriront ce qu'est la vraie vie le jour où ils quitteront ce monde égoïste pour nous rejoindre.
J'ai une autre vie qui est la vie réelle, pour laquelle chacun devrait se préparer sur terre. Normalement, c'est le but de notre passage sur terre mais peu de gens le savent. La vie continue et bien plus belle. Le monde est si bien fait que peu à peu tout le monde sera heureux, mais ce sera plus ou moins long, selon ce qu'on a fait sur terre. Certains refusent l'aide, mais un jour ils y arriveront aussi. Je peux me déplacer sans problèmes, je peux même être à plusieurs endroits en même temps. Ici nous sommes libres, nous pouvons choisir ce que nous voulons faire. Nous avons beaucoup de pouvoirs mais nous ne devons pas les gaspiller. Ils doivent servir pour des choses importantes. Je pourrais vous soigner de tous vos petits maux, mais ce ne serait pas bien. Nous pouvons éventuellement intervenir dans des cas extrêmes de douleurs. La réincarnation est un sujet complexe, même pour nous, le fait de revenir à la vie terrestre n'est pas donné à tout le monde. je ne pense pas que ce soit un cadeau, mais cela arrive dans des cas particuliers. Non maman, pas plus que sur terre, tu ne pourras voir Dieu ici, on croit et c'est tout. La vie ici est un peu compliquée, nous avons plusieurs niveaux et je ne peux pas connaître les niveaux supérieurs avant d'y accéder moi-même par mon élévation spirituelle. Je peux me tromper aussi, car seulement les niveaux plus élevés ont le savoir. Nous sommes tous vivants et beaucoup plus heureux.
Nous nous manifestons toujours d'une manière ou d'une autre auprès de nos familiers, pour montrer que nous sommes présentes et vivants, mais la plupart ne se rendent pas compte ou refusent de voir. Ils préfèrent penser qu'après la mort physique c'est le néant, car le fait de croire en notre existence implique un changement d'attitude dans la vie, dans les idées, et cela ennuie beaucoup de monde. Peu à peu, tout le monde aura connaissance de la vie après la vie, c'est notre propos et la mission principale que nous avons tous.
Vous devez savoir que nous sommes énergie et que lorsque vous nous sentez, c'est un peu comme si vous vous approchiez d'un champ magnétique. Il va se passer quelque chose sur terre, mais je ne sais quand, ni comment. Ne paniquez pas, cela ne peut être que quelque chose de bien. La base de tout est la croyance en Dieu ou dans une force supérieure et dans la vie éternelle. il faut bien répéter que le séjour sur terre pour chacun de vous est de courte durée par rapport à la vie éternelle. c'est un passage obligatoire pour continuer vers la vraie vie. La mort n'existe pas, c'est seulement un changement de vie. Nous ne sommes pas morts, nous sommes bien vivants et nous voulons que tout le monde le sache. Il est toujours temps de se souvenir d'un être cher disparu, il est toujours temps d'être un peu moins matérialiste et plus spirituel..."

Le désir commun à tous c'est la Tranquillité


Aloha !

Avec un peu d'expérience, la voyance, on finit par soupçonner que les choses importantes de la vie sont déjà arrangées d'avance... peut être finit-on alors d'être en guerre avec la vie et de prétendre de mieux savoir que Dieu ce qui doit se passer ? On laisse venir les personnes, on les les laisse partir... j'ai toujours mes préférences dans la vie, mais peut être ai je perdu l'illusion de pouvoir me nourrir d'une rencontre, d'une situation ? Quand on a eu la chance de conduire les plus belles voitures ou de fréquenter les plus belles femmes, on finit peut être par guérir de certains fantasmes ? Mais on ne met pas un stock de liberté ou d'amour de côté pour toujours, c'est bien un art de vivre d'instant en instant... remplacer ses désirs par des préférences...
Je mets ici quelques lignes d'Eric Baret (Le Seul Désir, édition Almora). J'aime ces passages, quand il s'agit ainsi juste d'une invitation à un art de vivre.. la spiritualité se fait alors légère... quand il n'y a pas de prétentions à expliquer notre nature (ontologie) ou celle du monde... pas de systèmes..
"On ne désire que la tranquillité et on a l'impression que la Légion d'honneur ou une nouvelle maison nous la donnera. Ce que l'on désire vraiment, c'est être satisfait. Or, aucune situation n'a le pouvoir d'être totalement satisfaisante. Elle résonne en tant que souvenir; on pense par association d'idées que, si l'on avait une piscine, ou plus d'argent, ou un corps différent, ou un nouvel enfant, si l'on était divorcé, ou plus jeune - chacun selon sa fantaisie -, on serait tranquille et heureux....Mais le désir commun à tous, c'est le désir de tranquillité.
On peut conduire une Maserati rouge et être tranquille. La tranquillité n'empêche pas d'avoir une ravissante maîtresse ni de jouer au football. Simplement, on se rend compte que la tranquillité n'est pas dans la Maserati, ni dans la ravissante maîtresse, ni dans le fait de jouer au football. Donc, quand votre maîtresse préférera le voisin et quand vous vous serez détruit la cheville en jouant au football, cela ne vous manquera pas.
La tranquillité n'empêche aucune activité. Elle empêche seulement de prendre l'activité pour ce qu'elle n'est pas. L'activité est ce qu'elle est. Caresser un chat, caresser une maîtresse ou caresser une voiture est ce que c'est: beauté absolue, symbole - mais jamais cause - de notre liberté. La situation ne contient pas ce que je cherche. Mais toutes les situations sont possibles, cela n'empêche rien.
Aussi longtemps que l'on cherchera la tranquillité dans une situation, il y aura une forme de confusion. On ne pourra jamais se réjouir vraiment de la situation, parce qu'il y aura toujours une peur. Si je crois que la tranquillité est dans la Maserati, j'aurai peur qu'on me la vole. Si je pense que ma joie vient de cette femme, je ne serai jamais complètement tranquille, parce qu'elle peut mourir, parce qu'elle peut partir.
A un moment donné, on voit cela clairement. Et si l'on sait qu'il n'y a rien dans cette situation affective, mentale, financière, là on peut enfin agir librement. On peut gagner de l'argent et en perdre, parce qu'on sait qu'il n'y a rien là-dedans. On peut prendre tous les risques, parce que l'on sait que l'on ne risque rien.
Question: Que devient la relation amoureuse dans tout ça ?
La légèreté et l'humour constituent la relation; tout est ouvert. Ca vient, ça part, on est clair. C'est là que la beauté, que le jeu peut intervenir. Mais si la possibilité que ma femme me quitte me traumatise affectivement, je ne serai jamais vraiment là. Je serai dans l'idée que peut-être, si je fais ceci, si je dis cela, si je suis comme ci ou comme ça... Non ! Je suis présent.
Toute attente ôte la beauté, ôte la capacité. Quand on n'attend rien, on se situe dans le plein. Quand on se situe dans le plein, on a un rapport différent avec les situations.
Rendez vous compte que ce que vous demandez à quelqu'un, c'est votre propre tranquillité. Penser qu'une relation humaine va vous combler, ce n'est pas réalisable.
Cela n'empêche pas de vivre, de se marier, d'avoir des enfants, de fonctionner. Mais on arrête de demander à son mari ou à sa femme de nous combler, parce qu'ils ne peuvent pas le faire, parce qu'ils n'ont pas à le faire. Cesser de croire à ses contes de fées, c'est donner une liberté à l'autre. C'est arrêter de l'utiliser pour sa fantaisie personnelle. Donc c'est une preuve d'amour et d'affection. Tant que l'on demande à l'autre de nous combler, c'est qu'on se sert de lui comme d'un objet: s'il ne nous comble plus, on le change ! Quand on aime profondément quelqu'un, on se lui demande rien. Une relation profonde se crée.
Il ne s'agit pas de s'empêcher de demander, mais de voir le mécanisme. Quand je demande, je suis dans la misère. Tant que j'attends quelque chose de ma femme, de mon mari, de mon enfant, de mon corps, de ma voiture, je suis dans la misère. Et dans les moments où je ne demande rien, je m'aperçois qu'il y a cette tranquillité, cette disponibilité dans laquelle je peux enfin être présent à ma femme, à mon mari, à mon enfant, à mes parents.... Je suis présent parce que, à ce moment-là, j'écoute...
Quand je demande, je n'écoute pas..
Dans une relation intime avec un être humain, il n'y a que jeu. Vous pouvez très bien demander à votre mari: "Est ce que tu m'aimes ?" C'est le ressenti, la souplesse du jeu qui vous dicte cette question. Lui, par jeu, par souplesse, dira oui ou non, selon le moment. Mais il n'y aura plus l'intensité dramatique, psychologique. Vous savez très bien que le oui ou le non qu'il vous donne fait partie du jeu. Vous n'en attendez rien.
Si l'on entre vraiment dans la sensibilité dont nous parlons ici, le besoin d'être aimé - qui est à respecter - va s'éliminer. On croit avoir besoin des bras de quelqu'un, de la sécurité affective de quelqu'un, de l'amour de quelqu'un, de l'argent de quelqu'un... Non. Ce que l'on cherche dans cette relation, c'est la tranquillité, l'absence de besoins. S'en rendre compte, voilà une constatation vraiment scientifique.
Rien ne change alors. La vie continue comme avant. Simplement, au lieu de demander quelque chose à une relation, vous donnez quelque chose à cette relation. Au lieu de demander à être aidé par la relation, vous aidez la relation. Ce n'est pas un acquis, c'est sur l'instant. L'instant d'après, vous vous découvrez de nouveau en train de prétendre que vous dépendez de cette relation. Vous dépendez de cette situation et vous en subissez les conséquences affectives. Vous remarquez cette attitude et de nouveau tout se vide.
Vous ne pouvez pas être libre à jamais. Cette vision n'existe que dans l'instant. L'instant d'après, un nouveau fantasme peut survenir, et être reconnu comme tel.
Quand on laisse vivre ses émotions, elles se réfèrent à ce qui semble être une émotion primordiale, que nous avons appelée "tranquillité". "
Girls and Sport Cars... la vraie vie quoi !
Ben quoi, comment ça j'ai rien compris ?!

samedi 28 avril 2012

Film Dragonfly

Ce film avec Kevin Costner, sorti en 2002, est sympa à voir, assez mouvementé (évitez de regarder avec des enfants en bas age), et une fin de toute beauté.
Le lien avec l'au-delà y figure en bonne place.

Venue de Doreen Virtue à Paris: Lien officiel pour réserver ses places


Aloha!

Voilà le lien officiel pour réserver ses places pour rencontrer Doreen Virtue le 10 juin à Paris. (première venue officielle en France)
I will be there..
C'est pour écouter nos ptits Anges, parler avec leur maman (Marie quoi), et tout et tout, I say Yes !
http://www.humanitysteam.fr/Doreen-Virtue-a-Paris_a388.html
et également:
Http://www.luniversdesther.com

et l'audio de préparation: http://www.luniversdesther.com/Fr/images/doreen/Doreen_Virtue-emission-radio.mp3

vendredi 27 avril 2012

Holistiquement vôtre..


Je trace ici les contours de ce que pourrait être un thérapie holistique, à partir des outils les plus importants que j'ai trouvés et testés. Dans l'ordre des choses à vérifier chez une personne (et chez nous)
Enjoy !
1) Nutri-thérapie. Le niveau des neurotransmetteurs est il OK chez la personne ?. Nous avons 4 neurotransmetteurs principaux, 2 qui boostent (dopamine et acétylcholine) et 2 qui calment (GABA et sérotonine). Quel est le profil psychologique de la personne (par exemple anxio-dépressive), faut il essayer une supplémentation par un acide aminé et des omega 3, faut il revoir la diététique, le niveau de protéines est il suffisant, le niveau de sucre est il trop élevé, la personne est elle intolérante au gluten (ce qui produit la dépression car les acide aminés ne passent plus correctement dans le sang), avons nous une compensation par le sucre et le café, etc.
D'abord régler ce point car si c'est pas OK, aucune autre thérapie ne va marcher dans la durée..

2) Trauma. Avons nous un gros trauma qui bloque les émotions (cette vie ou vie antérieure)... solution écoute, dialogue, EMDR ou régression sous hypnose selon le souhait de la personne. Ensuite, qu'est ce que la personne n'a pas accepté ? ou n'accepte pas...

3) Structure.Avons nous une personne dissociée, (plusieurs parties en conflits), la personne a-t-elle conscience d'avoir un centre... => centrage, thérapie IFS, ACT

4) Connexion spirituelle, actes et valeurs. La personne est elle au courant que l'on peut se "connecter" (à l'univers, recevoir de la lumière, etc..). si nécessaire, initiation (un bien grand mot) de la personne à la reconnexion spirituelle (c'est là qu'il y a tout un business avec des acteurs pas toujours clean...). La personne est elle claire sur ses valeurs, et ose-t-elle (pas à pas) poser des actes en direction de ce qu'elle veut faire. Notion de confiance et de lâcher prise. Partage sur la vision du monde (worldview): la personne est elle tombée dans une vision du monde extrémiste (genre nous ne sommes que conscience, ou a contrario philosophie matérialiste: la conscience n'est qu'un sous produit du cerveau).
A suivre...

mardi 24 avril 2012

Venue confirmée de Doreen Virtue à Paris - Stage en Bretagne


Aloha !

Doreen Virtue a confirmé sa venue à Paris le dimanche 10 juin, ce sera dans le 7ième arrondissement pour une journée avec des pratiques..
Par ailleurs, pour ceux qui veulent se préparer ou découvrir tout ça, mon amie Kathryn Hudson, refait un stage en Bretagne du 11 au 13 mai, basé sur la formation Angel Therapy Practionner de Doreen.
Voilà les infos:

Agir avec les  Anges !


une formation unique en France


Pour toute question, pour vous inscrire,
contactez  Kathryn :
01·44·18·38·86 — contact@kathrynhudson.fr
Un stage de trois jours pour vous connecter, guérir et avancer sur votre Chemin avec vos ANGES, ainsi que pour aller vers le service envers autrui et la Terre. Vous qui vous sentez concerné·e·s, vous êtes des « Lightworkers », des Artisan·e·s de Lumière. Ce n'est pas par hasard si nous nous rencontrons en cette période de transformation sur Terre. Nous sommes là pour aider et soutenir la Terre ainsi que nous-mêmes, car nous sommes lié·e·s intégralement. Les ANGES sont à notre écoute, et ils attendent que nous les invitions dans nos vies.

11, 12, 13 mai 2012 à Lamballe en Bretagne : Stage de (Trans)Formation

(basé sur la formation Angel Therapy Practitioner / ATP® de Doreen Virtue)
Lieu du stage :
Manoir des Portes
Les Portes La Poterie  22400 Lamballe
02 96 31 13 62
http://www.manoirdesportes.com/

Dates : 11, 12, 13 mai 2012
Horaires (indicatifs) : 9h30 – 17h30
Tarif : 480 euros

lundi 23 avril 2012

Coup de coeur: "The Mood Cure" de Julia Ross


Voilà peut être un des livres les plus importants publié ces dernières années..
De nombreux lecteurs ont témoigné que ce livre leur a "sauvé la vie".
Sachant que la dépression et les problèmes émotionnels seront la deuxième maladie en 2020...ce livre étudie la nourriture et les compléments alimentaires permettant de maintenir le bon niveau des neurotransmetteurs responsables du bien-être dans le cerveau... les résultats sont très bons dans 85% des cas, et une fois le taux de neurotransmetteurs remonté (entre 3 et 12 mois), la plupart des patients arrêtent la prise d'acide aminé et gardent les bonnes habitudes alimentaires.
Julia Ross habite Mill Vallée (tiens, tiens, ça m'rappelle quelque chose..) en Californie.
Au départ elle était psychothérapeute et travaillait avec des personnes qui avaient des boulimies ou des addictions, mais elle s'apercevait que toutes les thérapies ne marchaient plutôt pas top top...
Un jour, elle a lu sur les travaux du chercheur Kenneth Blum, PhD. à l'université de North Texas. Kenneth travaillait sur les alcooliques. Kenneth a identifié des gènes chez les alcooliques qui faisaient diminuer la quantité de chimie dans le cerveau qui fait ce sentir bien et qui augmentait celle qui faisait se sentir mal. Sa recherche a expliqué les sentiments d'anxiété, de colère, de dépression, d'insomnie et de manque de bien être qui affectaient les alcooliques même en phase de récupération. Kenneth a trouvé qu'en donnant quelques acides aminés, il arrivait à être plus fort que la programmation génétique et à changer considérablement l'humeur des alcooliques, qui purent arrêter cette drogue.
Voyant cela, Julia Ross a commencé a donner à ses patients une alimentation qui contenait ces acides aminés, cela a donné des résultats, mais c'était long. Ensuite elle a donné des acides aminés purs, et alors là il y a eu des dizaines de milliers de cas de réussite sur le long terme, souvent des résultats au bout de 48 h (je confirme qu'on sent l'effet d'un acide aminé au bout de quelques heures).
Le livre est très bien fait, donne aussi les précautions pour les personnes bipolaires par exemple (les diagnostiques de bipo ou cyclothymique sont en général complètement loupés par les médecins qui ne pensent pas à demander si la personne dépressive à des périodes "hautes", alors que 30% des dépressions seraient cyclothymiques... sachant que la cyclo/bipo touche environ 6% de la population).
Les troubles d'humeurs sont classés en 4 groupes dans le livre de Julia.
Je vous traduits quelques extraits du premier qui correspond à la dépression classique liée au taux trop faible de sérotonine... notre alimentation actuelle ni est pas pour rien, en plus du stress, et de notre génétique perso.
Un livre plus général de Julia est dispo en français ("mettre fin à ses fringales").
Il convient de rétablir ses niveaux de neurotransmetteur avant de faire des thérapies, ou du yoga, etc... car quand votre cerveau a épuisé ses ressources, il produit des fausses émotions (sans rapport avec la réalité) et c'est tellement fort qu'on ne peut pas y faire grand chose...
"Le déficit en Sérotonine est le problème le plus courant que l'on voit dans notre clinique. Le manque de sérotonine est une vraie épidémie aux USA, qui produit un nuage de misère noire sur les personnes. Nos chercheurs estiment que 80% des adultes aux USA auraient cette déficience.
La séroto est vitale car c'est notre défense principale contre la dépression et l'anxiété...
Un manque de séroto provoque panique, irritabilité, insomnie, manque d'estime de soi, culpabilité, dépression, pensées suicidaires, relations de couple difficiles, douleur musculaire (fibromyalgie), pb digestion et cardiaque, envie de sucre et diabète type 2., alcoolisme, marijuana.
Notre cerveau doit être plein de séroto, sinon les émotions heureuses sont bloquées. Au lieu de la paix vous avez l'anxiété, la culpabilité. La séroto est synthétisée par l'acide aminé tryptophane. Cette production est inhibée par le café, l'alcool, l'aspartame, le manque de soleil et d'exercice. Le café est le plus grand ennemi de la séroto. L'aspartam l'ennemi numéro 2.
Lorsque l'on manque de séroto, le futur semble sans espoir et l'on songe parfois à mettre fin à ses jours.
La plupart de nos clients qui ont un taux trop bas en sérotonine retrouve une personnalité positive très rapidement (avec le tryptophane)."
On peut prendre du tryptophane (par exemple Seroxyl d'Arkopharma) ou encore 5-HTP. Prendre que des petites doses, sinon trop de sérotonine. Si on est cyclothymique ou bipo, ne pas combiner avec des anti dépresseurs à recapture de sérotonine (millepertuis y compris), et respecter des petits dosages (200 mg par jour par exemple).
Check the book at amazon.fr it's definitely worth it !
Il y a d'ailleurs un autre livre en français sur le même sujet par un autre auteur neurologue (Eric Braverman, un cerveau à 100%), les commentaires sur amazon.fr sont très bon aussi.
http://www.amazon.fr/Un-cerveau-100-Eric-Braverman/dp/2916878106/ref=cm_cr_pr_pb_t

samedi 21 avril 2012

Premier soin avec mes mains de lumière sur maladie de Chester: positif !!


Good news !!
J'ai (osé) donner mon premier soin en canal, avec mes mains de lumière, sans toucher la personne, il y a quelques semaines.
Cette personne est venue à moi par le "hasard" de la vie.
Elle venait d'être diagnostiqué d'une maladie orpheline (maladie de Chester, due à une prolifération anormale de leucocytes macrophages, qui peut conduire à des paralysies et autres problèmes: http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_de_Chester-Erdheim).
Gilles Delieuze (thérapeute et médium) m'avait prédit que je ferai, entre autre, des soins sur des personnes ayant des problèmes de paralysie, et que mon don (ou les entités qui sont avec moi) était que la lumière allait descendre profond dans les os...
Je précise que la personne qui a reçu le soin venait juste d'être diagnostiqué et ne prenait pas encore de traitement.. et qu'elle avait par ailleurs un problème de diabète... pour l'instant la maladie de Chester la gênait dans sa vision qui était devenue trouble..
Suite à mon soin, la personne a surtout senti que cela lui avait éclairé un peu la vision..
Ensuite les analyses suivantes ont montré une amélioration nette du problème de diabète.. et maintenant la personne a retrouvé une bien meilleure vue..
Voilà, alors je ne veux pas employer des mots trop forts comme "guérison", etc, mais je ne dois pas nier non plus qu'il y a eu un effet ! Ce serait idiot de taire cela et pas scientifique... il y a des entités de lumière avec nous, et elles peuvent nous aider pour les soins (et pour mieux appréhender le sens de notre vie terrestre).. il faut le faire savoir... petit à petit....
Lors du soin j'ai nettement senti des "chirugiens du ciel" spécialisés sur les différents organes, qui ont agis à travers moi... d'abord sur la partie basse des jambes, qui étaient en "suractivité"... puis sur les reins, où un chirurgien invisible a enlevé, via mes mains, des sortes de spaghettis toutes noires... et ensuite sur les yeux, alors là c'est une entité de plan assez élevée qui est venue, j'ai senti et entendu "plan christique", une entité toute de lumière blanche et cristal.
Je précise que je n'ai pas fait payé le soin, et que je n'ai pas appliqué de protocoles de soin, sauf au départ, j'ai senti un peu le niveau global des corps énergétiques, les décalages, le niveau des chakras... je n'ai pas fait grand chose là dessus car c'était globalement ok... ensuite je laisse mes mains passer au dessus des différentes parties du corps, et ce n'est plus moi qui fait, je suis juste en canal..
Je précise que je ne suis ni barré ni illuminé (enfin 99% du temps !!), mais ingénieur diplômé d'une grande école et encore en activité.. d'ailleurs en médiumnité avec la médium Hélène Polesel, mon grand père paternel nous a dit: "les soins seront important pour toi, quand tu donneras les soins, il faudra mettre les caméras, on verra les entités..."
Voilà, je n'oppose pas ces autres dimensions "moins visibles" et la science.... les caméras ont les mettra et si on voit les entités, je vais pas me dégonfler, je le ferai savoir !! na !!
J'ai vécu des évènements perso assez difficiles depuis 3 ans, d'autant que j'ai encore une faiblesse intrinsèque dans la gestion de mes émotions, je me disais, "mais c'est pas possible qu'est ce que j'ai fait pour mériter ça..."  et pourtant souvent je sentais aussi les plans de lumière...mais je me suis accroché, et aujourd'hui je vois enfin des résultats positifs de tout ça...aujourd'hui j'ai un peu pleuré, mais c'était pas de tristesse.
Merci à tous ceux et celles qui m'ont encouragé à croire en l'incroyable...
P.S. pour l'anecdote, le jour même où je suis allé chez cette famille donner ce premier soin, la famille a reçu le livre "rencontre avec des guérisseurs remarquables" qui était en réédition...comment c'est possible tout ça...;-))
Je précise que je n'ai rien de remarquable, j'essaye juste d'avoir un coeur ouvert quand je peux et quand je peux pas je m'en excuse..j'essaye de pardonner.... et j'ai fait des efforts pour "savoir" et puis après j'ai arrêté les efforts. C'est tout pour cette vie.
Philippe

Revoir sa vie en rose - Seroxyl

Voir à nouveau sa vie en rose

Aloha !

Ne sommes nous pas nombreux à espérer pourvoir un jour revoir notre vie en rose ?
Pour tous ceux qui ont des problèmes de déprime, je conseille d'essayer (au moins pour essayer) Seroxyl, disponible sans ordonnance en pharmacie (laboratoire Arkopharma).
Seroxyl c'est l'acide aminé Tryptophane, qui est le précurseur naturel de sérotonine, un neurotransmetteur dans notre cerveau qui est important pour notre moral.
Nous consommons dans la nourriture classique 1g de Tryptophane par jour. Un comprimé de Seroxyl (à prendre en dehors des repas car il y a compétition entre les acides aminés) c'est 220 mg de Tryptophane, et on prend 1 ou 2 comprimés par jour, il ne semble pas y avoir de risques ni de contre-indication. Certains auteurs aux US conseillent des doses nettement plus élevées, mais là il faut rester prudent, en particulier si vous prenez déja un AD IRS (bon ok je traduis !! un anti dépresseur à inhibiteur de recapture de sérotonine, que ce soit une molécule chimique ou bien le millepertuis qui fait cela aussi), donc voilà il faut pas basculer dans l'excès inverse et avoir trop de séroto, surtout si vous avez des tendances cyclothymiques/bipolaires (pour ne pas rebasculer dans l'autre sens).
L'utilisation des acides aminés, comme alternative aux AD et aux thymorégulateurs classiques est une alternative peu connue en France, et de toute façon comme y a pas de brevets possibles sur les acides aminés (substance naturelle), ni les labos, ni les médecins sous influences, vont le promouvoir... il faut regarder les ouvrages de Julia Ross (dont un titre est traduit en Français). Si on est cyclothymique, il faut éviter la glutamine qui va trop booster..
Attention, pour tous ceux qui vivent avec un trouble bipolaire ou borderline, ou dépression unipolaire, ou hystérie, etc, je ne vous dis pas d'arrêter vos AD, vos anxyolitiques, vos thymorégulateurs et de vous précipiter sur le Seroxyl !! J'amène juste l'info, voilà... c'est un sujet à suivre...
Et aussi ce qui doit aider beaucoup à accompagner, soulager les troubles psy et, au moins réduire, les médications classiques, c'est l'écoute, l'écoute de soi, la libération de ses émotions (on les laisse venir, on les bloque pas, on les accompagne par le souffle, voir mes derniers articles sur Gaëlle Laleu, Eric Baret) et aussi très très important, voir la mécanique de nos refus: du passé, du présent, et le fait qu'on n'accepte pas l'insécurité intrinsèque de la vie... "ma sécurité c'est ma disponibilité", mon accueil dans l'instant pour ce qui se présente.. je ne dis pas qu'on arrive à un tel saut comme cela... cela peut prendre du temps, de la maturation... mais un jour on comprend que c'est la seule façon de s'en sortir...
Eric Baret dit qu'il a plusieurs fois débloqué des gens en leur faisant comprendre que l'essentiel de leurs souffrances sont imaginaires, et soudainement des gens "s'éveillent" en comprenant que 40 ans de souffrance étaient auto-produits ! Donc ça compte beaucoup cette approche....aussi
Après, il faut voir aussi, que certaines personnes ont un trouble dans le cerveau de gestion des émotions, donc apprendre à les accueillir et les libérer est important, et remonter au bon niveau ses neurotransmetteurs aussi, et pour cela un produit comme Seroxyl peut aider. Pour plus de détail voir les livres de Julia Ross.
Chaque problème est différent. Quelqu'un qui a un trouble borderline (trouble de la personnalité) peut en guérir avec la bonne approche thérapeutique, quelqu'un qui a un trouble cyclothymique ou bipolaire (qui est une maladie plutôt génétique) devra toute sa vie gérer ses niveaux de neurotransmetteurs, ses émotions, et surveiller les déclencheurs de haut et bas,etc...mais l'écoute, et le fait de voir ses refus feront faire un bon énorme et un grand soulagement..
Quand on est très souvent déprimé, ce n'est pas "normal"...quand on a des problèmes de "rage" ce n'est pas normal.. il faut avoir le courage de le reconnaître, on a un problème, ce n'est pas forcément de "notre" faute, cela peut être un problème chimique, génétique... certaines personnes ont un bon taux de seroto, dopa, etc... et passent les obstacles de la vie sans trop de soucis... d'autres ont des taux de neurotransmetteurs trop bas, ou des relargages par les neurones qui se font mal (on peut aider par les des omega 3 bien dosés en EPA).
Bref, si je dis tout ça c'est juste pour aider: si on a un taux de neurotransmetteur trop bas, ou un problème quelconque à ce niveau, on peut faire 50 ans de yoga, lire des tonnes de livre, et rencontrer plein de sages (faut déjà en trouver des bons...), il sera dur dur de se sentir bien, et ce n'est pas la faute de la personne... il faut dans ce cas là se faire aider, comprendre comment l'alimentation peut remonter les taux de neurotransmetteur (voir Julia Ross, vaincre les fringales: http://www.amazon.fr/Lib%C3%A9rez-vous-fringales-programme-naturel-probl%C3%A8mes/dp/2916878610/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1334998158&sr=8-1) ou pour ceux qui lisent l'anglais, plus détaillés sur les émotions: http://www.amazon.fr/The-Mood-Cure-Program-Emotions-Today/dp/0142003646/ref=sr_1_2?s=english-books&ie=UTF8&qid=1335001498&sr=1-2, apprendre à accueillir, écouter les émotions dans le corps, les libérer, et voir la mécanique de nos refus... après si cela ne suffit encore pas, il ne faut pas hésiter à prendre des médications plus fortes et chimiques si nécessaires... il y a des moyens de sortie de la souffrance émotionnelle... il faut se faire aider et ne pas rester dans le trou, je sais que quand on y est on peut y rester trop longtemps (car on croit que c'est normal, que c'est parce qu'on a des soucis extérieurs...souvent on a en plus une fragilité, d'où la nécessité d'aide), et certains font une grosse bêtise, alors que la bonne aide change beaucoup....
Se faire aider n'est pas un aveu de faiblesse, au contraire, c'est un acte d'humilité, d'intelligence, de courage et de volonté de s'en sortir, pour soi et ses proches..
Il est bien clair que dans le domaine spirituel, il y a de nombreuses personnes qui ont des troubles psy... il ne faut s'en culpabiliser ! On peut comprendre que quand on ne se sent pas bien, on va chercher des solutions dans le domaine spirituel (souvent ce ne sont pas les bonnes qui sont proposées, et cela peut faire empirer le trouble, d'autant que les gourous ne sont ni parfaits, ni compétent en terme psy)... par ailleurs certains troubles psy favorisent les perceptions extrasensorielles..
Oui c'est possible de revoir sa vie en rose.... c'est souvent juste une question d'avoir les bonnes infos et d'essayer différentes pistes, et aussi d'oser reconnaître son trouble (qui dans 99% n'est pas de la faute de la personne, même si elle peut l'améliorer grandement par une nouvelle approche de la vie).

Philippe

vendredi 20 avril 2012

C'est l'égo qui bloque en refusant l'émotion


Une petite video toute simple par Eric Baret sur la gestion des émotions..
Notre refus de l'émotion la bloque et créé plein de problèmes..
Je crois qu'une bonne partie des vraies thérapies, c'est, tout simplement: qu'est ce que je refuse, qu'est ce que je bloque comme émotions (passé, présent, futur)..
Je laisse revenir tous mes souvenirs, j'accepte que cela se soit passé ainsi, cela se libère...
Je constate la mécanique de refus du présent: je suis 100% dans le refus, je le constate.
J'accepte la totale incertitude du futur; ma sécurité c'est ma disponibilité pour ce qui arrive...
Et ben déjà avec ça....ça change !!!

Le plus beau projet c'est d'être sans projet - Eric Baret


Quelques lignes piochées dans les toutes premières pages du livre d'Eric Baret "Le seul désir", édition Almora.
Sur toutes ces attentes et ces refus qui nous détruisent...
"Vous voyez des images: l'image que si vous couchiez avec votre voisine, si vous achetiez une belle voiture ou si vous pratiquez le yoga, vous trouveriez quelque chose qui vous satisferait. C'est un fantasme, une illusion. A un moment donné, il vient une maturation, on n'a plus besoin de fabriquer quelque chose. Plus besoin de fabriquer une vie - une belle vie, une vie réussi, aimer, être aimé, être approuvé, être quoi que ce soit. Vous êtes ce que vous apporte la vie. Vous êtes en prison, vous êtes avec un ami qui meurt, vous ne savez pas comment payer votre loyer: c'est cela, la vie. Rien ne manque. L'idée d'attraper quelque chose vous quitte. Il va vous venir cette saveur...
Le problème n'est pas le désir, mais l'histoire bâtie autour. Quand le désir se libère des images, il reste un vrai désir: le désir de la vie.
Votre désir est ce qui se présente.
Se rendre compte qu'on est constamment en train d'imposer à son corps, à son psychisme et à son entourage une idée: "ça serait mieux comme ça". Voir qu'on agit en dictateur.
S'en rendre compte suffit. 
La violence c'est de penser qu'on n'aurait pas dû vous gifler il y a 30 ans.
Quelle souffrance que d'attendre ou revendiquer l'amour !
A un moment donné vous ne partez plus en guerre contre la vie.
On peut avoir des problèmes fonctionnels; ils ne sont plus problématiques psychologiquement.
Ce n'est pas parce qu'on divorce qu'on rate quelque chose, ce n'est pas parce qu'on se marie qu'on gagne quelque chose.
Vous matraquez à droite et à gauche tout ce qui va à l'encontre de votre projet misérable.
Votre sécurité, c'est votre disponibilité, c'est ce qui se présente à vous.
Les hommes, les femmes, vos enfants, votre voiture: tout va disparaître.
Ma maison c'est la disponibilité.
Quand vous sentez la peur dans la poitrine ou dans le ventre, vous n'avez pas peur. Vous sentez la jalousie, mais vous n'êtes pas jaloux. Cela, c'est possible. Mais vous ne pourrez jamais changer votre fonctionnement biologique. 
Chaque fois que quelque chose m'agresse, je dis merci. Je regarde et je vois que c'est moi qui m'agresse en pensant qu'on devrait me traiter autrement. Tout ce qui nous agresse, c'est un cadeau pour nous montrer nos peurs.
La maladie se construit très longtemps à l'avance. Quand vous êtes sensible, la maladie n'est jamais une surprise
Si on vous dit que vous avez un cancer, vous oubliez votre corps. Vous ouvrez des livres... Non ! c'est moi le cancer. Je laisse le cancer vraiment me parler. Et là je vois ce qui convient. Dans l'écoute, on voit des guérisons extraordinaires. Il n'y a pas de combat. Il y a une écoute."

mercredi 18 avril 2012

La véritable relation part du plein


L'extrait ci dessous résume le point de vue d'Eric Baret et son approche cachemirienne sur les rapports dans le couple.
Il n'est pas le seul à dire qu'un couple fonctionne sainement quand chacun est suffisamment autonome (et ne vient pas pour se nourrir de la relation).
Il le dit avec ses mots à lui, sa façon radicale, cela a une vertu pédagogique.
On peut être plus doux aussi, plus conciliant, (plus réaliste ?)... pour moi c'est un idéal, existe-t-il vraiment ?.. Eric Baret dit aussi à un moment que l'on peut se demander si la structure psychologique peut être complètement libre car il y a un réflexe de préhension qui demeure quelque peu.
Il y a aussi dans certaines rencontres des ouvertures vers le spirituel qui se font, et ce même si aucun des deux n'est autonome.
On peut comprendre que plus on est autonome, mieux ça vaut..
Je prends de son approche les côté pratiques et applicables. Je reste dubitatif sur l'absence de limite dans l'approche cachemirienne: être 100% écoute à ses ressentis, je sais à quoi cela va (encore) me conduire: une dissolution du sens du moi (la pensée étant désactivé au profit du ressenti). Je suis en phase avec cette approche pour l'aspect thérapeutique de libération émotionnelle que cela permet (accompagnée du souffle, comme un rebirth light)... par contre, la réalisation de l'unité avec le tout, hum... est ce adapté à une vie en occident ? (où je dois me lever le matin pour aller gagner ma croûte)... c'est encore cet agenda oriental de "vilainisation" de la pensée et du plan mental (voir explications de Joel et Diana sur ce blog). Mais qui vous dit que le plan mental n'a pas son importance, par exemple comme force créatrice !?
Nous avons déjà présenté une autre approche sur ce blog, qui est une dialectique entre la personnalité et l'impersonnel (lire mes articles tagués "sagesse"). Pour garder une personnalité, il faut garder ses projections, ses identifications mentales... autant en changer le contenu (enlever certaines charges)... je sais que ce n'est qu'une identification (pour l'avoir vérifier de façon expérientielle), mais j'ai choisi de la garder à des fins de garde-fou.
Ceci étant dit, voilà l'extrait en question...
" A un moment donné, il faudrait que les hommes et les femmes arrêtent de demander à l'autre ce qu'ils ou ce qu'elle ne peuvent pas donner. une femme ne peut donner le bonheur à un homme, pas plus qu'un homme ne peut le donner à une femme. Il peut, s'il a l'écoute nécessaire, permettre à l'autre de s'exprimer afin que la maturité de l'autre puisse se concrétiser. Mais dans les relations humaines, il n'y a rien à demander. Vous ne pouvez ni demander ni recevoir. C'est une forme de compensation. La véritable relation part du plein. Vous sentez votre autonomie. Vous pressentez le silence et vous vivez ce pressentiment du silence avec un autre. A ce moment-là, le problème de couple se présente tout autrement. Cependant, si vous épousez quelqu'un en pensant que cette personne comblera totalement vos besoins, vous allez tôt ou tard vous plaindre. C'est une mauvaise orientation. Un bon thérapeute vous amènera à réaliser qu'il n'y a rien à demander à la vie. Tout vous est donné. Mais on refuse constamment.
C'est votre demande qui crée le refus. Quand on demande, on ne peut pas recevoir. Les relations compulsives entre les hommes et les femmes sont des activités comme les autres, mais, éventuellement, cela ne nous concerne plus tellement."
(Eric Baret, Les crocodiles ne pensent pas)
Bon voilà, c'est dit de façon un peu extrême (comme souvent avec lui), il y a du vrai là dedans... mais cela n'a de valeurs que si on propose une façon d'aller vers cette autonomie, et de se libérer de ses manques... sinon c'est juste des paroles dans le vent....
Et j'ajoute que si on sait le faire - remettre les personnes en contact avec leur liberté intérieure - et ben faut pas se priver de le faire et le faire savoir, car il y a beaucoup de gens en souffrance émotionnelle !

Ecoute et action sur Paris

Gaëlle
Je vous mets en lien le site de Gaëlle Laleu sur Paris. Je ne connais pas (encore) Gaëlle, mais je vois qu'elle utilise comme outils des choses autour desquelles je commence à graviter... voilà ses mots clefs:


Outils : ECOUTE, méditations guidées, dialogue intérieur (parent/enfant intérieur/conscience témoin et personnages intérieurs), communication non violente, travail de Byron Katie, yoga du cachemire, souffle, expression corporelle, explorations relationnelles (regard, toucher…)...
Accompagnement individuel (sur rendez vous, Paris 1er et par téléphone).
Ateliers et stages.
video: http://video.google.com/videoplay?docid=1965618514707884088&hl=undefined#docid=-8350987799942124282
(Gaëlle n'a pas parlé ici du dégagement de la charge émotionnelle, qui se traduit parfois par un tremblement dans le corps..)
Gaëlle Laleu
Ecoute du corps, du cœur et de l’esprit.
01 46 49 56 79/06 14 056 04 48 
laleugaelle@gmail.com
http://www.ecoute-et-action.com/index.php?lng=fr

L'approche cachemirienne et les peurs


Quelques extraits des propos d'Eric Baret pour gérer la problématique des peurs qui peuvent nous habiter.

Quelle serait, à votre avis, la voie la plus directe pour parvenir à la perception du divin?
Par l'acceptation totale de l'absence de divin. Par la prise de conscience que tout votre fonctionnement est sans cesse refus, sans cesse ajournement. Par la prise de conscience que l'on vit uniquement dans la mémoire, que le corps vit sans cesse dans l'attraction-répulsion, dans la peur, qu'il y a sans cesse cette référence à soi-même.
 Quand vous voyez que profondément il n’y a que l’insécurité, il y a un certain basculement qui se fait. Il n’y a que l’insécurité. Quand vous l’avez reconnue, corporellement et mentalement, vous décollez de cette insécurité et là vous rejoignez la sécurité profonde. Il n’y a pas de sécurité corporelle. Votre corps est fait pour être écrasé par un camion. Tôt ou tard, votre corps ne pourra pas éviter tel ou tel accident. Vous ne pouvez rien changer à cela. Vous pouvez apprendre les arts martiaux, vous pouvez acheter un revolver, mais vous n’enrayerez pas l’insécurité. La seule manière de vivre avec l’insécurité, c’est de l’accepter totalement. L’insécurité fait la beauté du corps, fait la beauté de la vie. Toute la créativité de la vie y participe, sinon elle n’aurait pas d’éclat. Il faut faire la différence entre l’insécurité psychologique et l’insécurité physiologique. L’insécurité physiologique est purement fonctionnelle. L’émotion à la vue d’un lion va mettre en branle masse musculaire et orchestrer tout un processus de fuite rapide. Cette réaction chimique et les processus mis en branle par l’émotion sont purement physiologiques, fonctionnels. Généralement, l’insécurité est psychologique.
C’est l’amour qui l’enrayera. L’amour de votre structure. Eprouvez complètement votre structure corporelle dans un espace et vous verrez la peur disparaître. La peur est une restriction.

(…)
Beaucoup de maladies viennent de la peur : peur du passé, peur du futur, peur de perdre, peur de ne pas faire face, peur de ses pulsions et de ses impulsions. Quand vous écoutez votre corporalité, votre structure, la peur psychologique vous quitte. La peur psychologique paralyse l’action alors que la peur physiologique donne la possibilité de réagir avec la rapidité nécessaire.
(…)
La plupart des humains éprouvent une insécurité psychologique. Ils aiment ou n’aiment pas telle ou telle personne, telle ou telle situation. Dans la vie, il n’y a rien à aimer ou à ne pas aimer. Tout est rythme et vibration. A ce moment-là, la vie devient plus fonctionnelle. Il faut analyser la structure du corps. Que se passe-t-il quand quelqu’un vous agresse ? Que se passe-t-il, dans le corps, quand vous vous rappelez tel ou tel événement qui s’est produit alors que vous étiez plus jeune ? Que se passe-t-il quand vous pensez à telle ou telle personne ou à telle autre qui a quitté ce monde ? Comment réagissez-vous ?
Ecoutez votre structure corporelle sensorielle sans tirer de conclusions. Vous allez bientôt découvrir une très grande sensibilité dont le corps n’est qu’un camouflage psychologique.  Ecouter convenablement son corps, c’est le sens civique de la vie. Si vous ne le faites pas tous les jours, il y aura agression. Quand vous écoutez vraiment, tout élément psychologique disparaît. Il peut rester des relents, des traces, mais ils ne sont plus des références qui vous tiennent prisonnier. "

C'est un peu comme une farce tragique: on est constamment entrain de dire non à ce qui peut nous montrer nos limitations, pour vivre dans une hypothétique de sagesse, de liberté. Alors on ne veut surtout pas se voir dans la peur, dans l'incertitude, surtout pas se rendre compte que l'on ne sait rien, que l'on ne peut rien. Donc on ajourne constamment ces opportunités pour vivre dans une image spirituelle, de méditer, de devenir comme ceci et comme cela, d'être libre de ceci et de cela. Mais un jour on se rend compte du mécanisme; alors il y a changement. On ne cherche plus à devenir quoi que ce soit, à éviter quoi que ce soit.
C'est la fin de tout enseignement spirituel, c'est le début de la vie spirituelle. Il ne peut pas y avoir les deux à la fois.
Un homme sensé, c'est quelqu'un qui vit en harmonie avec ses émotions: il connaît ses peurs, ses anxiétés, ses jalousies, ses culpabilités, et il est complètement en accord avec elles. Quand quelqu'un s'ouvre à ses émotions,celles-ci quittent leurs prolongations pathologiques, elles deviennent poétiques. Au lieu d'avoir peur de sa peur, on écrira sur la peur, on peindra sur la peur, on fera de la musique sur la peur. 
Quittez toute voie spirituelle. Restez chez vous. Jetez vos tofus et votre prétention à la paix par  l'alimentation, le yoga ou le taî-chi-chuan. Regardez. Ressentez. Regardez combien vous vous enfuyez de la réalité quotidienne. Pas de recette, d'exercice, d'attitude à observer. Etre lucide. Sentez la peine, la tristesse, la peur. C'est Dieu en activité. C'est votre chance. 
Quand vous ne prétendez plus que les choses devraient être autrement, mais que vous vous donnez à ce qui est dans l'instant, tout est possible.
Se familiariser avec cette disponibilité aux instants de la vie. Je n’ai pas besoin de changer quoi que ce soit en moi : mes peurs, mon arrogance, mes prétentions, mes limites, tout cela m’est nécessaire pour pressentir le sans-limite.

mardi 17 avril 2012

Saint Paul de Vence et les Mercedes

Saint Paul de Vence


Eric Baret nous parle de son maître (Jean Klein, médecin) et de Maharaj (vendeur de cigarettes à Bombay).
Trop drôle !
"Mon maître était un homme élégant, raffiné, cultivé, riche, beau, tranquille, qui s'habillait très bien, avec des chaussettes en soie, des pull-overs de très haut prix, qui avait deux Mercedes, un chalet en Suisse, trois appartements à Lausanne, la plus belle maison de Saint-Paul-de-Vence, qui connaissait admirablement la musique classique, le théâtre antique. Alors beaucoup de ses élèves se sont mis à se raffiner, à porter des chemises blanches, à aller au concert, à manger avec subtilité. Et puis certains ont eu la chance de rencontrer Maharaj: cela leur a fait beaucoup de bien ! Quelque chose s'est passé: ils n'ont plus essayé. Ceux qui étaient naturellement purs, sattviques, le sont restés. Ceux qui étaient naturellement agités le sont restés aussi. A ce moment-là une clarté peut se présenter. Mais quand on veut changer sa nature, changer ses composantes chimiques, être autrement que ce qu'on est, c'est une insulte à ce qui est au-delà de la nature."
Eric Baret, extrait "le sacre du dragon vert. Pour la joie de ne rien être". Edition Almora.

Jean Klein
Nisargadatta Maharaj














Se coucher heureux et se réveiller heureux ??

Oia Village, Santorini

Hello Folks,

J'ai une certaine sympathie, ou une sympathie certaine, pour l'approche du tantrisme cachemirien, tel que par exemple présenté par Eric Baret (voir par ex. "Dans la nudité des tantras" edition Almora). Sans pour autant en faire un système, ou en déduire une conclusion intellectuelle et ontologique..ça, ce serait vouloir résoudre les secrets de l'univers, et c'est se mettre une charge supplémentaire !
L'approche proposée, sur le plan pratique, consiste à accueillir, écouter ses ressentis dans son corps.
Non pas "je suis triste" ou "je suis déprimé"... ceci est une pensée... qui vous a dit que vous étiez déprimés ? Il faut comprendre que la majorité des thérapies proposées par les psys sont des thérapies mentales...c'est très long et cela ne marche pas forcément (il reste même, d'après certains, à démontrer que la psychanalyse donne des résultats..).
Non pas "je suis triste" ou "je suis déprimé", mais je sens la tristesse, je sens la dépression, et on écoute dans son corps: à quel endroit (le ventre, la gorge ?)... on accompagne par le souffle... on laisse l'émotion se déployer entièrement... on prend du temps à soi pour faire cela... au lieu de refouler l'émotion....
Comment faire pour arriver un jour à se coucher heureux et se réveiller heureux..??
Prendre un peu de temps certains jours pour examiner "qu'est ce que je n'ai pas accepté ?"...ou "qu'est ce que j'attends avec trop de force ?".."qu'est ce qui me fait peur ?". et si on n'accepte pas aujourd'hui, c'est ainsi... on ne peut pas se forcer à accepter quelque chose qui nous est arrivé... mais on peut accepter sa non-acceptation, c'est à dire écouter, sans mentaliser, le déploiement dans son corps de ce refus... petit à petit, la tension cristallisée pourra se déployer... ou peut être même se transformer dans notre essence fondamentale, (qui est joie et paix)..
Si c'est un trauma lourd qui nous bloque, il peut être intelligent de se faire accompagner dans les ressentis qui remontent alors !
Derrière nos peurs, et nos souffrances, il y a une paix et une joie intrinsèque..("notre droit de n'essence"). Mais elle ne peut être saisie par un acte de préhension, elle se dévoile lorsque notre projet devient "ce qui est". "Le yoga c'est faire face à ce qui est"..."certains vont dans des brasseries pour manger de la choucroute et sont heureux, d'autres font du yoga toute leur vie et sont déprimés, l'un n'a pas plus de valeur que l'autre, ce qui compte (pour nous amener vers l'essence) c'est d'être dans son ressenti."
La disponibilité sans jugement pour ce qui est, en passant par l'écoute du corps, en étant juste présent à ce qui est, est une façon de nous retrouver dans ce centre (le notre, celui de la vie), dont il est fait mention dans les thérapies ACT et IFS...
On ne peut pas provoquer le lâcher prise mais voir la mécanique qui fait que l'on se met en tension et à côté de ce qui est (regrets du passé /désirs pour le futur). Voir cette mécanique crée une brèche à travers laquelle, progressivement, de petits moments de conscience, de bien-être sans cause, vont commencer à être vécus !
C'est en fait une attitude de chaque instant à laquelle on est invité: accueillir ce qui se présente, dans ses ressentis... c'est vrai que si on fait cela, il n'y a guère de place pour mentaliser, car on ne peut sentir et penser en même temps...
Sur le plan de la Sagesse, le propos est de constater que l'on refuse tout le temps ce qui est, et ce qui s'est passé, et que l'on rêve tout le temps à la situation de demain...
Avec la maturité, vient, ou ne vient pas, la compréhension que l'on se trompe en cherchant à se réaliser dans une situation... car il y aura certainement toujours des choses qui vont clocher, et que surtout c'est en nous même que se situe la sérénité et la sécurité... ce sont toujours ces attentes que l'on plaque (sur quelqu'un, sur un travail, une situation) qui nous empêchent de trouver en nous...

Tout ceci n'interdit pas, bien sûr, d'avoir des préférences, des projets, dans la matière... mais idéalement, une certaine légèreté finit pas s'installer, quand le moment est venu...

lundi 16 avril 2012

Arrêter de critiquer sa vie - Eric Baret

 Le domaine Pins Paul (06)

Hello !
Je vous mets un peu d'Eric Baret, c'est tiré de son livre (épuisé) "de l'abandon".
Attention, il ne s'agit pas d'en dériver une philosophie, et de se dire "qu'on n'existe pas", qu'on n'est pas ceci ou pas cela, ou qu'on n'a pas le droit de penser.... c'est juste plutôt se dé-tendre...
J'ajoute que souvent ce sont les choses qu'on n'a pas accepté qui nous plombent (consciemment ou inconsciemment). Comment revenir à notre liberté intrinsèque, à notre joie naturelle, sans s'encombrer de croyances et de pratiques ? ....
"Quand je n'ai plus confiance ni en moi ni en l'environnement, il reste une confiance qui n'est plus dirigée vers quelque chose mais qui est simplement un non-commentaire. J'arrête de critiquer ma vie, de penser qu'elle devrait ou pourrait être autrement. Je cesse de savoir quoi que ce soit. Reste la disponibilité. En l'absence de réaction psychologique, la simplicité de la vie m'apparaît. Tout ce qui m'arrive est présence. La confiance naît quand j'abandonne tout espoir. Une confiance sans objet.
L'espoir est une forme d'ajournement: demain je serai heureux. Ce n'est pas admissible: on sera mort avant cela; plus le temps d'être heureux demain. "Quand je ferai plus de yoga, quand je serai plus sage, moins coléreux, plus riche, marié, divorcé, quand je mangerai moins de sucre, que je serai en meilleure forme, que j'habiterai ailleurs... seulement alors je serai heureux." Voilà l'espoir !
Pourquoi attendre ? Qu'y aura-t-il de plus demain ? Rien. Je projetterai la même misère qu'aujourd'hui. Si j'arrête aujourd'hui, cela s'arrête aussi pour demain. Si je continue aujourd'hui, cela continuera demain. Je dois arrêter, maintenant, dans l'instant. j'écoute, je ressens: dans ce ressenti, le mécanisme de fuite vers l'avant, vers demain, est vu pour ce qu'il est. Donc, toujours revenir à la sensibilité du moment. Écouter l'instant sans le lier à celui d'avant ou d'après, sans le comparer, sans rien savoir, sans anticiper ni se rappeler.
L'espoir est une fuite.
Question: la résignation aussi ?
Oui, les deux sont un manque d'écoute. La résignation c'est se référer au passé, l'espoir c'est regarder demain: dans les deux cas, je ne suis pas présent."

vendredi 13 avril 2012

EMDR, une aide pour les stress post-trauma

Pour voir la vie autrement...

Aloha !

Je vous conseille de regarder ce bon film de 15 min. sur l'EMDR.
J'ai beaucoup parlé sur ce blog des thérapies ACT et IFS, comme chemin pour aller vers la sénénité. J'ai parlé aussi des acides aminés. En complément, une technique que l'on peut faire avec l'aide d'un psy ou même seul, des mouvements oculaires des yeux en se rappelant du trauma... c'est ce qui se fait la nuit pendant les rêves, mais si le trauma est trop fort, ce mécanisme peut ne plus suffire, et faire quelques séances le jour permet, d'après le film, jusqu'à 80% de succès... ceci permet de rétablir petit à petit la connexion du cerveau émotionnel avec le cerveau rationnel, et de digérer le trauma... si le trauma n'est pas digéré (et nous sommes nombreux à en porter), il va y avoir souvent des peurs, des flashbacks, et des dépressions, et comme c'est une autre partie du cerveau que la partie rationnelle qui génère cela, c'est pas simple de s'en sortir sans un "truc"... car le contrôle finit par épuiser.
" Chaque événement douloureux laisse une marque dans le cerveau, précise le psychiatre David Servan-Schreiber, qui a introduit la méthode dans l'Hexagone, et qui préside l'association EMDR-France. Celui-ci effectue alors un travail de 'digestion' permettant aux émotions qui accompagnent le souvenir de se désactiver. A moins que le traumatisme ait été trop fort ou ait frappé à une période où nous étions vulnérables. Dans ce cas, les images, les pensées, les sons et les émotions liés à l'événement sont stockés dans le cerveau, prêts à se réactiver au moindre rappel du traumatisme. Dans l'EMDR, le mouvement oculaire 'débloque' l'information traumatique et réactive le système naturel de guérison du cerveau pour qu'il complète son travail. "

http://www.dailymotion.com/video/x2lmqj_guerir-autrement-emdr_tech?start=1053#from=embed

lundi 9 avril 2012

Marylin, Dawn et nous..


Apparenté à Marylin par son mariage; Dawn Novotny nous parle de la partie "femme-enfant" en nous.. cette petite partie avide de regards aimants si on en n'a pas assez reçu enfant...
Dawn utilise en tant que thérapeute le système IFS...
by Dawn Novotny
Dawn Novotny LCSW
Sorry this is in english..

"I do not relate to the Marilyn Monroe persona in any conceivable way. Not in beauty, sex appeal, style, dress, voice, talent, or life experience as a world renowned starlet. But I do believe I understand and relate to Norma Jeane, the compliant child-woman, the person she was behind the persona, the real person who is the subject of this post.
I have often wondered if it was the Norma Jeane quality that compelled my young husband Joey, Marilyn Monroe's step-son, to chose me, marry me and then fervently try to re-make me into his Marilyn Monroe idealized image in the way I dressed and behaved.
What was his felt sense about me that reminded him of his beloved step-mother, the "mother" that remained intensely interested in his life- even speaking with him by phone the night of her death? What caused his attraction to me when we met? What is this Norma Jeane quality to which I refer? On the surface we were nothing alike. Deeply in love with Joey who I saw as brilliant, funny, and charming, I thought he married me because he loved me. What seventeen year old girl wouldn't think that, hope for that when engaged and newly married?
What he didn't know, at least consciously, was that from our very first meeting I was a lost girl, fearful of people's control and demands, confused, in need of guidance, "a" damsel in distress. I needed a protector. Trying to escape the suffocating depression, sorrow and expectations that permeated the house of my grandmother and mother, I had just run away from home. I needed rescuing in the same way that Joe DiMaggio - sometimes referred to as, "The great American Hero"- rescued Marilyn on several occasions.
Norma Jeane had also been lost; she was without a sense of belonging or safety. Within every child-woman is the search for love but that search is compounded, almost desperate in its efforts to feel that felt sense of being loved and belonging if this fundamental need was not met as a child. Always searching for the eyeslike that of the mother- eyes that light up with a smile when they gaze upon you. In the absence of such consistent appreciation is the endless search for a sort of substitute human mirror that reflects back acceptance, delight and belonging, the reflection that replaces the delight in the eyes of missing mothers whether by mental illness, substance abuse or absence. Yes, I understood Norman Jeane all too well.
I believe that Joey's attraction to me had everything to do with the parts of myself, like Norma Jeane, that both infuriated men thwarting their authority and making them want to rescue and protect us sensing our profound vulnerability. As young girls, Norma Jeane and I had our own strict moral code that perhaps made no sense to anyone but us. Not to mention a tenacity that refused to be impeded despite our penchant to please, placate and surrender our dreams. Tenacity prevailed every time in spite of us. We were not the kind of girls that could be caged in any sense of the word.
And yet, we shared a certain vulnerability that enabled, even elicited, some men to enact their hero fantasies, their desire to be a knight in shining armor. That archetype of course has its own roots, which will be the subject of another post.
The parallels are strikingly similar: As little girls we both grew up with negligence and disregard-fathers who denied our paternity and refused to even meet us, mothers with mental illness, pill addictions and little ability to connect. We were both sent to foster care and endured a variety of abuses, creating a profound vulnerability and a certain type of resistance to control. No, there would be no cages for us. We wanted to belong, not be penned."
Dawn DeLisa Novotny MSW, LCSW, MTS, CDP, CP, Is a clinician, teacher, author, spiritual director and national workshop leader. She is in private practice in Sequim, WA. Since 1987. She specializes in systems theory focusing both on the “external” (family, cultural, roles) as well as the “internal” family system (internalized roles, parts, archetypes, ego states, internal conflicts, etc.). As a clinical practitioner of psychodrama, sociometry and group therapy, Dawn utilizes a variety of action methods. She conducts workshops in CA. and WA. She holds Masters Degrees in Clinical Social Work, Theology and is State Certified in the field of chemical dependency. She completed a two year post-graduate program in Spiritual Direction sponsored by the Jubilee community for Justice and Peace and the Vancouver school of Theology. She was an adjunct professor at Seattle University and past instructor at Peninsula Community College. She is a nationally certified psycho-dramatist. www.thefaceswelive.com

 

samedi 7 avril 2012

Before - After

Je vous fais un Before - After..


And After:


Les dessins sont du livre "Self-Therapy" de Jay Earley, qui traite de la thérapie IFS (Internal Family Systems) therapy...  le coloriage est de moi (oui, je sais, un grand artiste en devenir !!).. attention surtout ne mettez pas les doigts: peinture fraîche de ce matin !
Je reviendrai aussi sur le livre écrit par Thich Nhat Hanh sur l'enfant intérieur, sur l'idéologie irréaliste du bonheur éternel avec Joël et Diane, etc..j'aurai l'occasion sur le blog de revenir sur tout ça..
Ce que je veux dire en attendant, c'est qu'il faut faire attention avec les tonnes de pensées positives qu'on nous vomit dessus (excusez l'expression mais parfois c'est ça)...
D'une part on ne crée pas vraiment sa réalité (je reviendrai là dessus avec certains penseurs dans le coup et non pas dans le commerce...) car notre réalité dépend aussi beaucoup des choix d'autrui... et à moins de vouloir lui imposer vos choix par votre puissance psychique (ce que je ne vous conseille pas) et bien si l'autre ne veut pas la même chose que vous, alors vous ne l'aurez pas, et ce n'est pas en psalmodiant qu'on crée sa réalité que ça va changer... ceci dit la pensée est créatrice oui, mais pas dans une vision aussi extrême que celle marquetée aujourd'hui (on n'est pas dans l'au-delà ici)...
Ensuite, comme vous le voyez sur le schéma "After", nos différentes parties elles restent, elles sont un peu calmées, réordonnées, certaines ont de nouvelles tâches, etc... mais elles sont toujours là... sachant que le mental est une de ses parties... alors voilà, on a le droit de ne pas être "here and now" (idéologie extrémiste qui à mon avis n'amène pas au bonheur mais plutôt à l'H.P.), on a le droit d'être triste, etc.... simplement avec une bonne approche, on a contacté une partie plus profonde en nous, laquelle partie est "connectée", et on connaît mieux sa structure, on se laisse moins déborder, paniquer, lorsqu'une partie s'active... on sait ce que c'est, et on a du renfort (d'autres parties plus positives qu'on sait appeler, notre centre et sa connexion spirituelle ("there is no loving adult without a spiritual connexion")).
C'est un peu moins simpliste que "be here and now" et un peu plus réaliste... le centre est "here and now" ,certes, mais certaines parties de nous ne le seront jamais, certaines sont dans le passé avec une charge plus ou moins lourde (que l'on peut apprendre à délester au moins en partie), d'autres se projettent dans l'avenir (SVP laissez les vivre, no "here and now" dogma here !!).
Et on est heureux quand on est "in the flow", c'est à dire quand on fait ce qu'on aime... et sur terre on a un handicap car on est en mode survie (la nourriture, les soins de santé, et le logement ne sont PAS gratuits, contrairement à de nombreux endroits dans l'au-delà).... donc on fait au mieux.... et quand on ne se met PAS la pression à être heureux, on commence déjà à se détendre un peu...
A peluche,
Phil


vendredi 6 avril 2012

Moodstep - un blog qui questionne le bonheur


"Intervieweuse inlassable sur Moodstep et co-fondatrice de l'association Happylab, j'ai mis le bonheur au centre de ma vie pour toujours garder ce qui est important sous les yeux.  "
Joanna présente son blog, des personnes interviewées sur leur rapport au bonheur..
On y retrouve Lilou, Marc Vella, etc..
Energies coooool... que ça fait du bien...



jeudi 5 avril 2012

Vinvin interviewé sur le bonheur


"Je ne suis pas au top car je ne suis pas là où je devrais être"
"Les gens n'écoutent pas les signes de ce qu'ils devraient être"
"A chaque fois que je n'écoute pas mon intuition je m'en prends plein la gueule".

Ben oui Vinvin, bien d'accord... et ton expérience au TED, c'est ce qu'on appelle: The Flow: http://en.wikipedia.org/wiki/Flow_%28psychology%29

mercredi 4 avril 2012

Choisit-on ses épreuves ?? - Georgette

Cool ce petit livre publié récemment (sept 2011), il se lit en une soirée, très simple, pas prise de tête.
On peut le voir comme un résumé de l'oeuvre d'Allan Kardec.
Chris, médium, nous transmet les messages de sa grand mère sur ce qui se passe dans l'au-delà et sur le sens de notre vie terrestre à nous. Les messages de ce livre sont cohérents avec le reste que l'on connaît (autres médiums et recherche en régression sous hypnose).
Et encore un livre qui véhicule le message que l'on choisit (en tant qu'âme), nos épreuves (un optimiste dira nos expériences) terrestres... Mamie Georgette, dans son message, pousse même le bouchon plus loin, puisqu'elle dit que nos guides modèrent notre ambition (en terme d'épreuve), mais que nous, là haut, on est tellement dans l'amouuuuuur, on a tellement oublié comme c'est duuuuuur ici, qu'on a parfois tendance à se charger la barque...et que ensuite et bien parfois (souvent ?) on rate nos épreuves, certains mettant même fin à leur jour.
A titre perso, je ne peux pas complètement accepter cette hypothèse comme ça, je veux dire que c'est tellement structurant comme vision du monde (worldview) qu'il faut réfléchir à deux fois avant d'acheter ça. Néanmoins, je dois constater que cela revient presque dans tous les livres canalisés, du moins en occident (en orient je ne sais pas)...donc pour moi c'est une hypothèse de travail intéressante...mais pas plus à ce stade... j'y constate quelques incohérences.. par exemple, comme le dit Georgette, quand on arrive là haut on est parfois déçu d'avoir échoué certains tests... donc, si une personne A a échoué son test avec une personne B, et a été incorrecte avec B, alors dans ce cas B aura souffert...pourtant B ne l'aura pas choisi puisque A aurait très bien pu réussir son test... dis autrement, d'après le message de Georgette, le monde terrestre ne semble pas si déterminé que ça... donc je trouve illogique de dire que j'ai choisi ce qu'il m'arrive avec certaines personnes, tout au plus j'ai accepté que cela puisse m'arriver éventuellement, ce qui est déjà différent !
D'après Georgette, il y a 7 plans d'âmes... certains qui refusaient toute spiritualité lors de leur incarnation, continuent à la refuser une fois dans l'au-delà, et ne vont donc pas sur des plans de lumière... par ailleurs ceux qui étaient dans la bestialité, vont dans le bas astral, etc... bref très différent pour chacun (mais ça on le voit déjà lors de l'incarnation je trouve). Georgette habite au 5ième étage (sans ascenceur mais pas besoin !)
On y retrouve l'idée, (qui me fait mourir de rire) que souvent les morts ne comprennent pas qu'ils sont morts (puisqu'ils ne sont pas morts) et qu'ils sont accueillis par les ancêtres que leur expliquent tout ça et leur disent "tu n'es pas mort", etc... énorme quoi, le gag.. se suicider ne sert à rien puisqu'on retrouve notre état psy, en pire, simplement on est un peu plus aidé si on ne l'était pas ici.
Ce petit livre est excellent pour qui veut avoir une vue de nos deux étages (terre et ciel) sans se prendre la tête avec des lectures compliquées !

Nos si belles Parties

Aloha !

Lors de ses stages, Tom Homes (PhD), propose à ses stagiaires de dessiner leur propre système interne, leur structure, tels que ses élèves la voit. Tom enseigne IFS (Internal Family System) Therapy a sa propre manière, en y incorporant une dose de spiritualité.
J'ai trouvé ces dessins très illustratifs (normal vous me direz !)
Le premier ci dessous c'est celui de la couverture de son livre (Parts Work, à commander directement sur le site officiel IFS). Le tourbillon figure notre Centre (Self, Soi), qui est à un autre niveau que nos parties (un méta-niveau par rapport à la structure psychologique), en bas il y a toutes nos parties, en haut le salon, c'est notre conscience, le fauteuil, le siège de la conscience. L'idée est qu'à un instant donné une de nos parties occupe le siège de la conscience (ou alors le Centre, mais rare sont ceux qui sont toujours dans le Centre).
Je précise qu'une partie n'est pas forcément "négative"... ainsi, outre le Centre (qui ne pense pas et qui est calme), si on est un peu déprimé un matin, on peut très bien appeler une partie de nous positive à la rescousse..(on rejoint alors les thérapies cognitives bien sûr, mais tout en respectant la partie de nous qui exprime un malaise ou un ras le bol).


Les autres dessins sont des dessins de ses élèves.




Et vous comment représenteriez vous votre structure ?Allez, à vos crayons ou tablettes graphiques, je m'y mettrai aussi !